Le Premier des deux concerts du mythique trio british au Stade de France, c’était vendredi soir. Gigantesque… évidemment. Attention, si vous avez une place de concert, ce papier révèle les surprises que Muse réserve à son public.Et c’est parti pour deux vraies heures de show monumental. Ce n’est pas pour rien que le plus jeune groupe de musique à se produire au Stade de France, 11 ans seulement après « Showbiz » (l’album qui les a fait connaître), est réputé pour être meilleur sur scène qu’en studio (Bellamy le dit lui-même). C’est le cas. Au menu : que des tubes (à chaque début de chanson, on plane en se rendant compte que décidemment Muse n’a fait que de bons morceaux), des musiciens qui se font plaisir à coups de riffs de guitares, de délires de batterie et d’envolées vocales, des lasers et vidéos défilant sur le dessus de la scène, des confettis et des ballons bien sûr, une marée de mains constamment tendues vers le groupe.
Mais surtout cette sorte de soucoupe volante, qui vient accompagner une version « spéciale concert » mémorable de la première partie de la symphonie écrite par Bellamy, « Exogenesis Symphony ». L’ovni géant et argenté survole lentement la foule, quand tout à coup une acrobate en tombe et réalise une chorégraphie lente et magique dans les airs…