99F CONFESSIONS D’UN FILS DE PUB
AVANT PREMIERE GAUMONT MARIGNAN Champs Elysées
SUIVIE D’une Fête dans une boîte disco des années 80 : LA SCALA rue de RIVOLI (Le Blogreporter a enfourché Jolly Jumper et les a suivi pour vous !)
SUIVIE D’une Fête dans une boîte disco des années 80 : LA SCALA rue de RIVOLI (Le Blogreporter a enfourché Jolly Jumper et les a suivi pour vous !) Beigbeder à fêté ses 42 ans le même soir ! ! ! Autant vous dire que c’etait une soirée chaude comme dans le film avec ce rythme qui nous a entraîné au bout de la nuit , dans un tourbillon d’un vent de folie ! Merci Duduge ! ! !
LE FILM : Adaptation du roman homonyme de Frédéric Beigbeder, 99 francs selon Jan Kounen était bien parti pour se fourvoyer dans les sentiers obscurs du projet maudit par le statut quasi inadaptable de son matériau d’origine. Une crainte renforcée par la bande-annonce montrant un Jean Dujardin transformé et déblatérant avec suffisance que « jamais crétin irresponsable n’a été aussi puissant depuis 2000 ans ». Rares sont les films populaires de qualité. Il nous fallait un choc, un sujet, un auteur, un nouveau testament. Et cette avec une joie à peine contenue qu’on peut enfin l’annoncer : 99 Francs peut sauver le cinéma français !Il a de belles copines Beibeder !
99 F est un film drogué à la publicité et à la coke. La vie d’Octave ne se résume qu’en une succession de fêtes, de poudre, de femmes, de publicités. Seulement voilà. Au bout de 10 années dans le métier, Octave est làs. Làs de cette prison dorée, Il décide donc de tirer sa révérance…
99 F est drôle. Il est truffé d’un humour corrosif, noir, extrêment efficace et terriblement jouissif. Les séquences s’enchainent efficacement, captive, et nous pètent à la gueule.
Pas étonnant au vu de son sujet que les portent des chaînes de télévisions se soient fermées les unes après les autres, lorsqu’il a fallu trouver des financements pour le film. Seules deux chaînes ont répondu présentes (Arte et Canal+) et ont acceptées de contribuer au finacement du projet. Et quel projet. Dujardin y trouve ici son plus beau (et plus complexe) rôle. A ses côtés, un Jocelyn Quivrin impressionant qui s’en donne à coeur joie.
La renaissance de Yan Kounen : Yan Kubrik !
Un film "Chanmé" ! (plein de gonzesses…) et de yaourt ! BIENTÔT SUR VOS ECRANS !